mercredi 24 octobre 2007

Monde effictif

Ah, petite tanière ! Ca fait longtemps que je ne me suis pas languise de toi !


Et tu reviens comme ça, sans crier gare, « gare ! » ! Je ne sais pas si je me souviens encore bien de toi, car il me semble qu'à mesure que le temps nous sépare, je perds tes petits angles et le détail de tes charmes.


Mon beau, j'étais comme un chat avec toi. Et j'ai toujours adoré être un chat. Ils sont si doux, péteux et solitaires ! Certes, ils reçoivent avec plaisir quelque papouille de temps en temps, mais on ne crache pas sur un air de guitare.


Pourquoi écrire sans réfléchir, parce que ma réflexion j'en ai marre, et que je veux laisser parler ce qu'il y a dedans. Un chat, une montagne et une guitare, qui se rencontrent et qui montent un groupe, sans crier gare.

Penser, écrire, pencrire. L'intérêt est réduit, mais l'exercice est captivant. Sans queue ni tête, ce texte, alors qu'il sort de ma tête.


Ah ! Petite tanière...


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