dimanche 24 juin 2007

Vive les vivements !

Encore deux jours de dur labeur. Il me faudra rivaliser d'inventivité et d'improvisation littéraire durant huit heures, puis je pourrai me lancer dans trois bons mois de vacances ! Comme d'habitude, la perspective est délicieuse, mais je suis sûre que mardi après-midi, je trouverai toujours un tas de prétextes pour me plaindre, pour rager voire pleurer à chaudes larmes. On ne se refait pas. Je passe ma vie à chialer, pour un oui, pour un non. Mais je pouffe aussi pas mal. Alors au final, c'est un juste équilibre. Je me rends compte qu'ici, je passe mes articles à enrager, et quand je suis dans de bonnes dispositions, je me complais dans des souvenirs qui appartiennent au (putain de) passé. Il va falloir opérer quelques changements, sinon, quand je lirai tout ça à mes petits-enfants, ils croiront que j'étais chiante et malheureuse. Ils ont tort !
Hein ?

1 commentaire:

Arthur a dit…

Ils ont gravement tort.