jeudi 20 septembre 2007

Impression de voyage


La arquitectura enmaderada del Aeropuerte de Madrid ...


Paris paraît toujours belle et lumineuse vue du ciel, et c'est le seul moment où j'y perçois son romantisme réputé, dans le regard des étrangers. Mais ensuite, l'aéroport vide et le froid d'un septembre français me rappellent à un triste retour.

J'ai bien mangé un Bounty, mais rien n'y a fait, le béton de la gare n'est pas devenu une prairie chatoyante, le wagon métallique du RER B n'a pas brillé de mille feux exotiques. Au diable !

Il y a encore quelque chose d'excitant aux retours. J'y mêle le gris à ma petite mélancolie, et je suis grisée. Peu importe le mélange trop ambigu de joie et de tristesse, si c'est là le sort d'un globe-trotter !

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