
Après avoir savouré tout cela, il faut retourner sur le front universitaire (pas des moindres).
Je repensais à mon petit pot de colle, que certains camarades mangeaient entre deux leçons, à ma gomme flambant neuve, et bien sûr, aux crayons de couleur. Combien de fois les rentrées m'ont terrorisées... Celles où j'étais la nouvelle, perdue parmi tant d'autres. Maintenant, septembre me rappelle souvent ce tracas enfantin et monumental, et toutes ces petites choses qui faisaient de moi une gosse. J'ai rencontré la plus douce des nostalgies, hier.
Des mots mélancoliques, d'une innocence déconcertante, sont maintenant posés.
J'ai un emploi du temps du tonnerre : mon côté pragmatique crie à mon coeur combien il se doit d'être content.
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